Avec le Plan France relance, l’Etat a pour objectif de construire une France plus écologique, plus compétitive et plus solidaire d’ici 2030.Depuis le 6 septembre 2021, le Train de la relance parcourt nos régions et permet d’exposer et de faire découvrir les opportunités près de chez vous.

Où que vous soyez dans l’hexagone, et grâce au Plan France relance, l’accompagnement dans vos démarches vers la numérisation vous est grandement facilité. Vous pouvez bénéficier de formations, de prêts bancaires, de recommandations… Et ce, pour une viabilité et une visibilité non-négligeable sur le web.

Rester compétitif et pérenniser son activité a une importance majeure et le chemin vers la numérisation pour les TPE l’est d’autant plus.
Avec 41,6 millions de français qui achètent sur internet en 2021 et 98 % d’entre eux sont satisfais de leurs achats réalisés sur le web. L'e-sécurité pour l’acheteur étant éminemment établi.

Avec la crise du Covid, le choix d’un e-commerce pour un commerce de proximité fait sens, puisque 68% des e-acheteurs considèrent que les commerces de proximité devraient proposer la possibilité de commander sur Internet.

Grâce au plan relance, ce sont 120 millions d’euros qui sont consacrés à l’accompagnement vers la numérisation des TPE-PME, aujourd’hui cruciale pour le développement de leur activité.

Mais alors quel type de site choisir ? Tout dépend de votre activité. Un site « vitrine » vous permettra d’avoir une présence sur Internet, sans la possibilité d’achat.
Un site e-commerce, est quant à lui plus développé et permet l’achat en ligne.

D’autres sites existent (types extranet, intranet, page sur un réseau social) et peuvent parfois être compris dans une formule « site vitrine » et « site e-commerce. »

La DGCCRF (direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) stipule que « La création d’un site est une étape très technique. Il peut donc être utile de recourir à un professionnel qui maîtrisera la réalisation et la mise en ligne du site. ».

L’élaboration d’un site internet étant extrêmement technique, la solution la plus pérenne et la moins coûteuse est de faire appel à un professionnel.
Celui-ci est dans l’obligation d’être totalement transparent quant à la gestion de votre projet. Si un prestataire ne vous donne pas les réponses à vos questions, fuyez !
Les petites lignes des contrats peuvent semer l’incompréhension parfois, pour simplifier des explications qui pourraient être laborieuses : le prestataire est propriétaire de tout ce qu’il crée.
Si par exemple, vous lui envoyez des images pour votre site, vous en avez la propriété intellectuelle. Si toutefois, vous voulez que le prestataire « Photoshop » les images, il devient propriétaire des images modifiées et vous, des originales.

Certaines informations doivent apparaître obligatoirement sur un site e-commerce, c’est ce que l’on appelle les mentions légales. La raison sociale, l’adresse mail et le numéro de téléphone en font partie, elles permettront aux potentiels clients d’en connaître plus sur vous et de lui donner confiance et témoignent de votre caractère non-frauduleux.

En passant par un prestataire, votre site devient un actif immobilisé de votre entreprise. Comme l’explique la DGCCRF « Les dépenses liées à cette acquisition doivent être comptabilisées dans un poste d’immobilisations incorporelles et amorties sur une durée qui ne doit pas dépasser cinq ans. ».